Deux réalités ∞ les responsables de l’application de vos droits légaux

Bonjour, mes chers enfants bien-aimés ! Dans le prolongement de mon message précédent, je veux vous parler aujourd’hui de la manière dont vous devez vous comporter avec les autorités inférieures…

Comme vous devez communiquer avec beaucoup d’entre elles d’une manière ou d’une autre, il faut prendre l’habitude de ne pas avoir l’air d’un mendiant, et en tout cas de conserver votre dignité.

Et ici, comme en toute chose, il est très important de trouver le juste milieu : tout en faisant preuve de respect envers les représentants des autorités, vous devez néanmoins leur faire savoir que vous connaissez parfaitement vos droits et qu’en cas de réponse négative à votre recours, vous défendrez vos droits jusqu’au bout.

N’oubliez pas que c’est ce que tout fonctionnaire craint le plus : la connaissance par une personne de ses droits légaux.

Par conséquent, avant d’adresser toute question aux représentants de l’appareil bureaucratique, il est nécessaire d’étudier minutieusement l’essence de la question afin de formuler votre appel de manière extrêmement raisonnée et mieux en se référant à des actes juridiques ou à des articles de loi.

Cela donnera à votre appel un poids tout à fait différent et incitera les fonctionnaires à le traiter avec la plus grande attention.

En même temps, il est très important que votre pétition ait une énergie positive, ce qui conduira certainement à des résultats positifs.

Elle ne doit pas contenir de phrases offensantes ou de notes accusatrices, mais seulement un exposé factuel de l’essence de la question et, ce qui est très important, elle ne doit pas être rédigée sous la forme d’une pétition, qui implique une double décision, mais sous la forme d’une confiance totale dans sa prise en compte positive.

En d’autres termes, vous ne demandez pas quelque chose aux autorités, mais vous les traitez comme des exécuteurs de vos droits légaux.

Dans ce cas, vous changez de rôle : vous faites comprendre aux fonctionnaires, gentiment mais avec insistance, qu’ils ne sont pas les « maîtres du destin » des personnes qui s’adressent à eux, mais seulement leur personnel de service.

Mais cela n’est possible que si l’on ne craint pas la machine bureaucratique et que l’on est absolument sûr de son bon droit.

Dans ce cas seulement, la loi de similitude fonctionnera comme une horloge et votre question sera résolue le plus rapidement possible et de la manière la plus favorable.

Nous nous arrêterons ici aujourd’hui.

Le Père-Absolu, qui vous aime immensément, vous a parlé

Marta


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