La science défend généralement l’idée d’un Big Bang, à partir duquel l’univers aurait littéralement explosé. Le problème auquel la science est confrontée avec cette théorie est la difficulté qu’un tel événement aurait à réussir à créer la vie.
Dans son livre The Life of the Cosmos, le physicien Lee Smolin détaille les nombreuses variables qui devaient être parfaitement équilibrées pour que l’univers se transforme en un ordre vivant plutôt qu’en un chaos aléatoire.
La masse du proton, la force de gravité, la portée de la force nucléaire faible et des dizaines d’autres variables déterminent l’évolution de l’univers après le Big Bang.
Si l’une de ces valeurs avait été légèrement différente, l’univers serait devenu une piscine désorganisée de plasma chaud où les galaxies et les systèmes solaires n’auraient pas pu se former.
Pour que l’univers soit propice à la vie, il faut que les chiffres soient parfaitement exacts.
Quelles sont les chances mathématiques qu’un Big Bang accidentel produise un univers propice à la vie telle que nous la connaissons ?
C’est une chance sur 10 à la puissance 229.
En fait, il n’y a pas beaucoup de chances !
Quelles sont les chances qu’un Créateur intelligent ait réussi à faire en sorte que l’univers soit propice à la vie ?
Eh bien, nous sommes ici, n’est-ce pas ?
Voici ce qui s’est réellement passé à l’aube de la création
Voilà pour la physique et son outil favori, les mathématiques. Mais pour comprendre ce qui s’est réellement passé à l’aube de la création de l’univers, il faut que la métaphysique éclaire le chemin.
Le véritable point de départ de l’univers est l’amour divin du Créateur.
Il était nécessaire pour contenir ce qui allait suivre, l’impulsion de l’expansion.
Aujourd’hui, la pression de l’expansion dépasse légèrement le pouvoir de confinement magnétique du cadre fourni par l’amour divin.
À notre niveau physique d’existence, cela se traduit par une expansion constante de notre région de l’univers à la vitesse de la lumière, créant un flux constant d’énergie à l’intérieur de cet espace à la vitesse de la lumière.
La nature de l’énergie
La physique définit l’énergie comme le potentiel de travail, mais elle ne sait pas ce que c’est.
La métaphysique spirituelle définit l’énergie comme la conscience divine comprimée.
Owen Waters
