Le genre humain remplacé ? Les projets des technocrates pour l’humanité

Encore une vidéo très instructive de KLA.TV. Dans cette publication il est question des projets des technocrates pour l’humanité. Le texte étant long, je vous propose de commencer par visionner la vidéo.

Chaque année, quelque 3 000 personnalités de l’économie, de la politique, de la culture et de la recherche se réunissent au Forum économique mondial de Davos.

Si on entend les leitmotivs de ces réunions, comme améliorer l’état du monde : Repenser – redessiner – rebâtir – La mondialisation 4.0 : créer une architecture mondiale à l’ère de la quatrième révolution industrielle, on pourrait penser que de vrais bienfaiteurs sont à l’œuvre.

Mais la réalité est différente : Les crises politiques, sociales et économiques se multiplient.

En outre, il existe des menaces qui sont causées par l’ingéniosité humaine dans un large éventail de domaines scientifiques et qui s’imbriquent de manière complexe : La super-intelligence artificielle prend le contrôle, les ingénieurs en génétique conçoivent des êtres humains, les neurotechnologies contrôlent l’esprit humain et les agents pathogènes artificiels terrifient la population mondiale.

La recherche scientifique, parrainée par les plus grands concepteurs du monde, ne s’intéresse-t-elle vraiment qu’au bien-être de l’humanité ? Ou peut-être a-t-on l’intention de mettre en œuvre des projets tout à fait personnels qui mettent cette humanité en danger ? Les robots infirmiers contre le manque de soins – où est l’être humain ?

Selon un rapport d’expertise de l’université de Brême pour le compte du ministère fédéral de la santé, les maisons de retraite allemandes manquent à elles seules de 100 000 soignants. Les offres d’emploi ne sont que rarement acceptées car les conditions de travail sont extrêmement défavorables et le personnel soignant est énormément surchargé.

On essaie de remédier à cette crise des soins infirmiers en utilisant des robots infirmiers. Cela ne signifie rien d’autre que de remplacer le personnel infirmier humain par du matériel technique. Or ce dont les personnes nécessitant des soins ont réellement besoin, c’est d’amour, d’attention, de conversations personnelles, de communauté sociale, de possibilités d’implication, etc.

Mais cela ne peut être offert que par une personne qui a des émotions et des sentiments. Ces domaines restent fermés à un dispositif technique tel que le robot infirmier, même si une approche semble possible avec l’intelligence artificielle qui progresse – mais seulement en apparence.

L’être humain, en tant qu’être émotionnel et social, est abandonné sur le bord du chemin. L’avenir appartient-il aux machines ? Mi humain, mi machine : les cyborgs ont depuis longtemps cessé d’appartenir seulement à la science-fiction.

Les cyborgs sont des personnes dont le corps intègre la technologie afin d’améliorer les capacités humaines. Les plans des transhumanistes* vont jusqu’à dire que l’avenir n’appartient pas à l’homme naturel, mais aux êtres hybrides créés par le génie génétique, la robotique, etc.

C’est ainsi que le décrit Ray Kurzweil le très influent cerveau du transhumanisme et responsable du développement technique chez Google : Nous allons combiner la puissance de nos cerveaux, toutes les connaissances, les compétences et les bizarreries personnelles qui font de nous des êtres humains, avec notre puissance informatique […]

Cette fusion de l’homme et de la machine, avec l’explosion soudaine de l’intelligence des machines, conduira à un monde où il n’y aura plus de distinction entre la vie biologique et la vie mécanique, ni entre la réalité physique et la réalité virtuelle. Ray Kurzweil

Cela ouvre la porte au contrôle et à la gestion de l’humanité par des programmeurs anonymes. Une idéologie qui cherche à repousser les limites des possibilités humaines par l’utilisation de méthodes technologiques Jeffrey Epstein : la haute finance parraine la haute technologie controversée Jeffrey Epstein était un banquier d’affaires américain et un délinquant sexuel reconnu coupable.

En 2019, il a été accusé de diriger un réseau de trafic sexuel de mineurs pour des personnalités de haut rang. Il est mort en prison, officiellement par suicide.

Cependant, ce que le public ne sait pas, c’est qu’à travers une fondation, il a financé des programmes portant sur la modification du comportement, c’est-à-dire la modification du comportement humain, le transhumanisme, l’intelligence artificielle ou la manipulation génétique.

Il a soutenu des scientifiques tels que Martin A. Nowak, Marvin Minsky et George Church. En tant que membre actif de l’organisation Edge, Epstein a rassemblé des milliardaires et les plus grands chercheurs. The Edge Organization [prononcer vi èdj orguenaïzèïshen] s’efforce d’atteindre les frontières de la connaissance, ce qu’on appelle les sciences limites.

Epstein a également été membre du conseil d’administration de l’université Rockefeller et a siégé au « Comité de Harvard sur l’esprit, le cerveau et le comportement ». Il a également été membre de think-tanks [groupes de réflexion] influents tels que la « Commission trilatérale ».

Si on examine toutes ces connexions, il devient évident qu’Epstein, qui a été présenté par les médias principalement comme un criminel pédophile solitaire, faisait partie et était au centre d’un réseau étroitement impliqué dans les domaines de la haute finance et de la recherche à haut risque.

Ce réseau travaille manifestement en étroite collaboration avec des technologies visant à rendre l’être humain naturel manipulable et contrôlable. Honte à tous ceux qui utilisent sans réfléchir les merveilles de la science et de la technologie, et qui n’en ont pas saisi spirituellement plus que la vache n’a saisi les merveilles de la botanique, alors qu’elle mange les plantes avec plaisir.

Albert Einstein, physicien (1879 – 1955) La manipulation génétique avec les humains est irresponsable Il y a quelques années, les scientifiques ont découvert un mécanisme permettant de modifier spécifiquement l’ADN. Avec ces « ciseaux génétiques » appelés CRISPR/Cas*, des séquences de gènes peuvent être insérées ou retirées à volonté.

Les partisans de cette technique affirment que le CRISPR/Cas peut être utilisé pour prévenir de graves maladies héréditaires. Les critiques craignent toutefois des abus. Le professeur George Church de Harvard, entre autres, soutenu par Jeffrey Epstein, a obtenu un brevet pour l’utilisation des « ciseaux génétiques ».

Il travaille sur l’altération et la modification des gènes dans le but de créer une race humaine supérieure ; bien que – selon les informations des médias – nous serions loin de « produire » des bébés sur mesure. Mais il existe déjà des scientifiques comme He Jiankui, qui en 2018 a affirmé avoir manipulé génétiquement des jumelles avant leur naissance avec le CRISPR/ Cas.

Cela s’avère particulièrement dangereux : de telles modifications du patrimoine génétique d’une personne ne peuvent être inversées et peuvent même être transmises – avec des conséquences totalement inconnues ! *CRISPR/Cas = protéine coupant l’ADN Toutes ces contributions montrent clairement que des domaines scientifiques très courtisés et très financés franchissent de plus en plus les lignes rouges et qu’une science qui tend vers la « mégalomanie » craint de moins en moins de briser les tabous éthiques et moraux.

Même face à toutes les violations flagrantes des frontières qui mettent en danger l’existence de l’humanité, les paroles suivantes de Hermann Hesse* s’appliquent : « Souvenez-vous, le doux est plus fort que le dur, l’eau plus forte que le roc, l’amour plus fort que la violence. » Ecrivain germano-suisse (1877 – 1962).


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