L’imposture de notre société !

Chers lecteurs, vous avez remarqué que je publie de plus en plus d’articles sur la 5D et la 9D. C’est normal et cela devrait s’amplifier, puisque c’est là que nous allons tous, enfin ceux qui voudrons de la véritable et originale version de l’humanité.

Eh oui ! Il faut bien le dire et le répéter : Nous sommes tous une parcelle de Dieu. Je fais bien sûr référence à la première loi universelle de l’unité divine. Voici sa définition :

Ce principe se rapproche de l’effet papillon, le concept selon lequel les petites causes ont de grandes conséquences. Dans l’Univers, tout est connecté. A chaque instant de notre vie, nos pensées, nos actions et nos dires affectent notre entourage. Tout est énergie, et toute énergie est l’extension d’une source d’énergie principale, que certains appellent Dieu.

Je me devais de faire ce préambule pour aborder l’imposture de notre société actuelle. J’entends dire à longueur de journée “citoyen”, mais avez-vous compris que c’est un mouton blanc qui obéit au doigt et à l’œil. On l’exploite du jour de sa naissance et même après sa mort.

Allez-vous donc comprendre que vous n’êtes pas cette fiction juridique ! Cette notion de citoyen a été introduite dans les droits de l’homme pour vous mettre en esclavage : Quel paradoxe ! Les droits de l’homme au niveau européen c’est pire et vous ne dites toujours rien. J’ai beaucoup écrit à ce sujet, peu de gens prennent la peine de poser des questions !

Quand ces gens prononcent “force et honneur” et demandent le RIC (référendum d’initiative citoyenne), c’est plutôt faiblesse et déshonneur que de vouloir nous maintenir sous la coupe de la citoyenneté, c’est à dire de l’esclavage.

Même si les constituants se démarquent avec leurs enquêtes sérieuses et pleines de bon sens, ils ne peuvent pas s’empêcher de parler de citoyenneté. Je vous le dis un citoyen est un bout de papier qui obéit à son maître alors qu’un être humain fait de chair d’os et de sang, habituellement appelé souverain lui n’obéit qu’à son âme.

Vous voyez, il n’y a pas besoin d’être violent pour faire plier le système. Dans ce bas monde dépravé, tout n’est que commerce, y compris les enfants que l’on va arracher du ventre de la maman, juste avant de naître.

Je finirai par cette phrase du satanique Sarkozette : L’homme n’est pas une marchandise comme les autres ! Je ne compte pas me faire emballer comme une vulgaire marchandise, je ne sais pas pour vous ?

Et surtout, chers amis, prenez bien soin de vous.