L’organisation des Nations unies « pour l’égalité et l’émancipation des femmes », abrégé en « UN Woman », fait l’objet de critiques. Face à l’esclavage et à l’oppression, un langage conforme à la théorie du genre est-il vraiment le principal problème des femmes ?
Voici le texte de cette vidéo :
C’est l’accusation dont est l’objet l’Organisation des Nations unies « pour l’égalité des sexes et l’émancipation des femmes », ou “UN Woman” en abrégé, après que celle-ci a annoncé sur Twitter : « Aidez-nous à créer un monde plus égalitaire en utilisant un langage non sexiste ». On entend par là un usage du langage qui vise à exprimer l’égalité des sexes.
À l’aide d’un guide linguistique, « UN Woman » explique quels mots doivent donc être retirés de l’usage de la langue Au lieu de « petit ami et petite amie », nous devrions parler de « partenaire ». L’expression « le sapeur-pompier » et le «pompier-femme» doit être remplacé par « personnel pompier ».
Le budget élevé annuel de 334 millions de dollars (chiffre de 2016) ne pourrait-il pas être utilisé pour des projets plus urgents ? Il ne manquerait pas d’activités qui font sens, car dans de nombreux pays, les femmes sont traitées comme des personnes de seconde classe.
Surtout en Afrique et en Asie, l’esclavage est encore largement répandu. Face à ces problèmes réels auxquels les femmes sont confrontées, de telles actions interpellent.
Sans produire d’améliorations durables, ce guide linguistique sur l’égalité entre les hommes et les femmes gaspille l’argent durement gagné du contribuable et ne prend pas du tout en compte les compétences complémentaires des hommes et des femmes.
Et voici la vidéo :
Kla.tv est un média indispensable de nos jours pour diffuser de réelles informations, même si je ne suis pas toujours d’accord avec eux. Dans ce cas, je ne diffuse pas !
C’est tout à fait vrai !