S’ils ne peuvent pas mentir… ils ne peuvent pas le faire approuver. Les demandes d’approbation de vaccins de tous types sont maintenant retirées dans de nombreux pays, par exemple…
Aucun des fabricants de vaccins, sous quelque forme que ce soit, pour le covid, n’est en mesure de fournir des données sur la sécurité, et maintenant de nombreux pays qui ne sont pas pris par les pots-de-vin de Big Pharma exigent des rapports localisés sur les résultats réels produits par ces injections expérimentales.
La réponse de Big Pharma est de retirer sa demande de fournir des injections. C’est très révélateur.
Si elle n’est pas approuvée, ou si elle l’est, ici aux États-Unis, par ce qui s’avère être une fraude, alors, en vertu du droit de la guerre et des conventions de Genève du ministère de la Défense, tous les participants seraient potentiellement coupables de meurtre d’enfants par des injections non autorisées.
À un moment donné, dans un avenir pas trop lointain, le peuple décidera que les injections pédiatriques d’un produit non homologué, expérimental et non efficace seront poursuivies.
Comme nous le constatons dans les récents développements au Canada, le pouvoir ne découle QUE du Peuple.
L’arbre de décision est l’arbre suspendu.
Comme l’ont établi les poursuites de Nuremberg, les superviseurs et les législateurs, dont il est démontré qu’ils ont personnellement profité d’actions qu’ils ont dirigées à travers une organisation sous leur contrôle, peuvent être poursuivis en tant que participants actifs au crime sous-jacent.
Dans les procès de personnes appartenant à la chaîne de commandement, l’acceptation de pots-de-vin a été considérée comme une preuve de facto de complicité.
Dans les procès de législateurs impliqués dans l’approbation d’actes considérés plus tard comme des crimes, l’acceptation de pots-de-vin a également été considérée comme une preuve de complicité.
Les décisions prises par les fonctionnaires peuvent créer des conditions qui entraîneront des accusations contre VOUS.
Législateur, soyez avisé !