
Il existe environ 72 vaccins à usage courant, tels que la DPT (diphtérie tétanos), varicelle, MMR (rougeole oreillons, rubéole), etc. Nous n’avons jamais utilisé la technologie du messager ARN, pour un vaccin.
Il y a des vaccins, avec de l’ARN, comme le vaccin contre la rougeole ou la polio qui utilisent un virus ARN.
Mais, la différence, avec ces vaccins, est que le virus, faisant partie du vaccin, est entièrement intact, donc quand votre corps crée un anticorps, il cible l’enveloppe protéinique externe de ce virus.
Ce nouveau virus pélève un petit morceau de son génome, qui est spécifiquement associé à ce que l’on nomme la protéine spike.
Puis, nous l’injecton dans le corps, créant ce que l’on appelle un anticorps non neutralisant, dont le but, au lieu de prendre le messager ARN, pour l’engloutir et l’éliminer, comme c’est le cas, avec le vaccin contre la rougeole, qui engoutit le virus de la rougeole et le fait disparaître.
Cet anticorps non neutralisant crée ce que l’on nomme :
facilitation de l’infection, par des anticorps, auquel on se réfère par l’acronyme ADE (antbody-dependant enhancement).
Un ADE permet au messager ARN de commencer à se répliquer, par lui- même et de continuer, ainsi indéfiniment, à créer des morceaux de protéine Spike, à l’intérieur de notre corps, pour qu’il puisse créer des anticorps…
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