
L’herbe à pic, à l’origine de cette importante découverte.
Le laboratoire Phytobôkaz, par la voix du docteur Henry Joseph vient d’annoncer, à l’occasion du Forum de la Santé tenu à la Région ce 11 février 2021, que l’herbe à pik, issue de la pharmacopée traditionnelle, aurait la capacité de contrarier la reproduction des virus à ARN dans l’organisme.Guadeloupe la 1ère • Publié le 11 février 2021 à 17h28, mis à jour le 12 février 2021 à 13h54.
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Protéger la cellule plutôt qu’attaquer le virus
Alors que les laboratoires mondiaux se sont intéressés au virus et ont dirigé leurs recherches vers « l’immunité acquise » notamment par le vaccin, les recherches de Phytobôkaz se sont concentrées sur les cellules même de l’organisme. En effet, pour prospérer correctement, le virus a besoin d’une cellule à coloniser et corrompre jusqu’à encourager sa reproduction anarchique dans le corps.
C’est ce phénomène qui déclenche des alertes biologiques et rend l’individu malade. Phytobôkaz a donc cherché à savoir si, dans notre biodiversité, des plantes pourraient être capables de renforcer les cellules afin d’empêcher toute cohabitation du virus. Cette découverte est fondamentale pour réduire l’impact de tous les virus à ARN sur les populations (dengue, chikungunya, coronavirus, rougeole)
Dr. Henry Joseph Pharmacien et Docteur en Pharmacognosie
Cette découverte est d’autant plus savoureuse, qu’elle a été menée en collaboration avec Damien Bissesar, jeune Guadeloupéen docteur en chimie et chercheur jusque là basé aux États-Unis…
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