Cogiito.com : Les injections expérimentales d’adénovirus COVID continuent de tuer des personnes plus jeunes et d’âge moyen

Les injections d’adénovirus expérimental COVID d’AstraZeneca et Johnson & Johnson semblent tuer des personnes jeunes et d’âge moyen à un taux plus élevé que les injections d’ARNm de Pfizer et Moderna.

Voici les histoires de certaines des victimes qui sont décédées à la suite des injections et qui ont dévasté leurs familles.

Francine Boyer : Une Canadienne de 54 ans développe des caillots sanguins
et meurt 14 jours après avoir reçu une injection expérimentale d’AstraZeneca.

Une femme de 54 ans est morte, et les médias grand public canadiens atteignent les étoiles avec leur propagande.

Mme Francine Boyer et son mari, Alain Serres, ont tous deux reçu des injections expérimentales d’AstraZeneca le 9 avril, selon un communiqué de presse de la famille. M. Serres n’a souffert d’aucun effet indésirable apparent. Mais Mme Boyer a souffert d’une fatigue extrême et de maux de tête débilitants. Elle a été admise dans un hôpital local, mais les médecins n’ont pas réussi à comprendre ce qui n’allait pas. Elle a été transférée à l’hôpital de l’Institut neurologique de Montréal.

Sur place, les médecins ont diagnostiqué une thrombose cérébrale, c’est-à-dire la présence de caillots sanguins dans son cerveau. Elle est décédée le 23 avril 2021. Après le décès de Mme Boyer, les médias grand public et les politiciens canadiens ont lancé une campagne de relations publiques semblable à celle de Fauci-Biden pour défendre les injections expérimentales de vecteurs viraux. Le premier ministre du Québec, François Legault, a déclaré à la chaîne publique CBC/Radio Canada :

« Nous savions qu’il y avait une chance sur 100 000 que cela se produise ».

Il a déclaré que la mort de Mme Boyer était « triste », mais que les avantages des vaccins expérimentaux d’AstraZeneca l’emportaient sur les risques.

Le directeur national de la santé publique, le Dr Horacio Arruda, a présenté encore plus de propagande de Big Pharma. Il a déclaré que le décès de Mme Boyer est « très rare » et que « parfois, malheureusement, il y a des complications ».

Santé Canada, un organisme hybride canadien équivalent aux CDC et à la FDA, a également déclaré dans un communiqué que les avantages des vaccins AstraZeneca l’emportent sur les risques.

Mme Boyer laisse derrière elle son mari, qui a posté sur les médias sociaux l’autre jour « Je t’aime et je t’aimerai toujours ! ». Elle laisse également derrière elle deux enfants adultes, deux petits-enfants, ainsi que ses frères et sœurs.

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2 Comments

  1. Quand on pense à tous les procès passés ou en cours de l’industrie pharmaceutique, chiffrés en milliards, ô combien c’est affligeant de constater que tant de personnes ne semble pas comprendre et se dirigent vers l’abbatoir!

    • Ca doit nous faire reflechir sur la valeur que mettent ces personnes sur leurs vies et leurs sante et aussi a ceux qui les aiment ils leurs faut a tout prix faire perdurer ce systeme brulard

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