Cogiito – Courrier des lecteurs : “Béchamp avait raison: le microbe n’est rien ; le terrain est tout…”

Cher Philippe, pPour votre info, j’ai oublié de vous dire – car la vérité se doit toujours d’être rétablie en toute circonstance et il semblerait que cette précision vous ait échappé – que Louis Pasteur a eu l’honnêteté, la dignité et le courage de se dédire en déclarant sur sont lit de mort les paroles suivantes: 

“Béchamp avait raison: le microbe n’est rien; le terrain est tout” 

Béchamp semble être non pas un concurrent mais un autre chercheur qui ne partageait pas les points de vue de Pasteur. Seulement à quelques heures d’expirer, les officiels n’ont pas pris sa confession pour sérieuse et le processus lancé par le biologiste battait son plein et il n’était plus question de faire machine arrière avec les enjeux que l’on peut imaginer.


Voilà une précision que vous ne manquerez pas de classer afin d’incriminer davantage la Grosse Berta médicale plutôt que le repenti Pasteur. Cela n’enlève pas les victimes dues aux expériences de vaccinations que vous évoquiez.

Quand on me parle de vaccination, étant enseignant de yoga, j’avance immédiatement l’idée que les animaux ne la connaissent pas sauf celles qu’on leur fait subir bien évidemment et j’ajoute que les médecins semblent être les spécialistes de la maladie et sont très loin d’être ceux de la santé. 

Voilà où se perche l’orgueil des humains qui ne laisse nullement l’organisme faire son travail car de toute évidence il sait le faire pour peu qu’on ne vienne pas le perturber trois fois par jour en lui imposant des nourritures qui n’en sont pas. Et en cette occasion je précise toujours qu’il y a trois façons d’ouvrir la bouche devant une assiette :

– l’on peut bouffer, l’on peut manger ou l’on peut se nourrir. Le corps en subira les conséquences: il peut devenir un dépotoir avec un indiscutable dépôt de bilan à la clef ou alors un temple.

D’ailleurs pour remettre les choses à leur place, il m’est arrivé de faire des grands jeûnes de quarante jours avec une délectation sans nom. Et toujours pour le plaisir. Si demain m’était annoncé un cancer ou une sclérose en plaque ou un Parkinson, je ne manquerai pas d’avoir recours à cette technique fabuleuse que mère-Nature a mis à la disposition des créatures puisque les animaux malades ou blessés y ont spontanément recours.

Il conviendrait de se souvenir que Jésus préconisait la santé car si l’on retient son ministère comme consacré aux âmes, cet autre ministère bien moins connu était dévolu aux corps; hélas ce côté-là de son vaste et merveilleux enseignement a été oublié et un ouvrage très passionnant consigne toutes ses intentions-là et il s’intitule : 

“L’Évangile de la Paix de Jésus Christ selon Saint Jean” Recueil rédigé en slavon et en araméen, langues contemporaines à notre Maître à tous. 

Ouvrage dont deux exemplaires originaux étaient classés en deux endroits: la bibliothèque des Habsbourg à Vienne et celle du Vatican. Dans cette dernière, il y a très certainement beaucoup d’ouvrages “qui prennent la poussière” et dont on se garderait bien d’en divulguer l’existence tant ils dérangeraient l’establishment.

L’on doit cette parution au travail de l’anglais Edmond Székely qui ensuite a été traduit par le Dr. Bertholet.

Je vous laisse cher ami, et j’attends toujours avec passion vos interventions.

Fraternellement

Philippe

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