
Bonjour Philippe, j’ai commencé à travailler en 1967 comme apprentie préparatrice en pharmacie et à l’époque nous ne délivrions les vaccins qu’après une analyse d’urine que nous faisions nous-mêmes puisque les laboratoires d’analyses n’étaient pas encore différenciés comme ce fut le cas plus tard.
Nous donnions aux bébés des poches urinocol pour recueillir les urines. Par la suite j’ai travaillé à l’aéroport d’Orly ( seul aéroport à l’époque ) et nous avions la queue devant la pharmacie à l’ouverture à 7:00 du matin pour faire en vitesse ces mêmes analyses pour ceux qui partaient et qui devaient se faire vacciner d’urgence.
C’était juste tremper des bandelettes pour le sucre et l’albumine.
Je vous avoue qu’aucune des ces analyses ne s’est révélée positive, et que pour le fun, j’aurais pu garder les “pisses” de célébrités (Gainsbourg, Birkin, Ferré, et toutes les équipes sportive françaises).
Bref ! Simplement pour vous rappeler, si vous ne le saviez déjà, qu’en ce temps là, dans les années 70, il semblerait que la vaccination soit prise au sérieux et soumise à quelques analyses, j’écoute vos émissions.
Bravo pour votre assiduité, ne lâchez pas quant à moi, je ne consens toujours pas, même si autour de moi, les plus tenaces craquent.
Bien à vous,
Joëlle V…
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