Cogiito – Les grandes entreprises pharmaceutiques, les gouvernements et les chefs religieux risquent d’être arrêtés car la Cour les condamne pour génocide et interdit les injections.

Global Breaking News, 15 janvier 2022 (GMT) Les grandes entreprises pharmaceutiques, le gouvernement et les chefs religieux risquent d’être arrêtés alors que la Cour les condamne pour génocide et interdit les injections.

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Les grandes entreprises pharmaceutiques et les dirigeants gouvernementaux risquent d’être arrêtés alors que la Cour les condamne pour génocide et interdit les injections.

Les grandes entreprises pharmaceutiques, le gouvernement et les chefs religieux risquent d’être arrêtés alors que la Cour les condamne pour génocide et interdit les injections.

Les grandes entreprises pharmaceutiques, les dirigeants gouvernementaux risquent d’être arrêtés alors que la Cour les condamne pour génocide et interdit les injections.

LE LIEN CI-DESSOUS DE LA VIDÉO DU VERDICT DE LA COUR QUI PEUT ÊTRE PARTAGÉ AVEC D’AUTRES PERSONNES.

https://drive.google.com/file/d/16a-27tJZEYUptAzWMTZHoUx4n6JaJlUR/view

Centre de mise à mort : L’hôpital R.W. Large à Bella Bella, C.-B.,
site d’expériences meurtrières de test de médicaments et de stérilisation d’enfants par les églises catholique et unie, Pfizer, Glaxo…

Bruxelles et Vancouver :

La Cour internationale qui a forcé le pape Benoît à quitter ses fonctions en 2013 a porté un coup à la corporatocratie COVID en condamnant de hauts responsables de Pfizer, GlaxoSmithKline, la Chine et le Vatican pour crimes contre l’humanité.

Le verdict de la Cour condamne soixante-quinze personnes à la prison à vie, saisit leurs biens et dissout leurs sociétés, et interdit légalement la poursuite de la fabrication, de la vente ou de l’utilisation de leurs vaccins COVID en tant que “produits de génocide médical et de meurtre de masse”.

Au terme d’un procès de quatre mois organisé conformément au droit international, les juges de la Cour internationale de justice de la Common Law (CIJC) ont rendu aujourd’hui leur verdict et leur sentence historiques, ainsi que des mandats d’arrêt et d’expropriation à l’encontre des défendeurs.

Les personnes condamnées sont :

  • Albert Bourla, PDG de Pfizer
  • Emma Walmsley, PDG de GlaxoSmithKline Pharmaceuticals,
  • Xi Jinping, président de la Chine,
  • le “pape” François (Jorge Bergoglio),
  • la “reine” Elizabeth (Windsor) et
  • Justin Trudeau, premier ministre du Canada.

Selon le bureau des affaires publiques de la Cour,

“Cette affaire concerne un crime intergénérationnel monstrueux et sa dissimulation tout aussi massive. Pendant des années, les plus hauts responsables de l’Église, de l’État et des entreprises ont personnellement sanctionné et profité de la torture, du trafic et du meurtre systématiques d’enfants dans le cadre d’expériences mortelles visant à produire le “vaccin” COVID, dans le cadre d’une conspiration criminelle visant à réduire l’humanité en esclavage.

CETTE CONSPIRATION ASSASSINE DES INNOCENTS, SE LIVRE AU TRAFIC D’ARMES, DE DROGUES, D’ENFANTS ET D’ORGANES HUMAINS, ET RÉDUIT AU SILENCE OU DÉTRUIT CEUX QUI MENACENT DE LA DÉNONCER.

Le verdict et la sentence de la Cour jettent un large filet sur les responsables en remontant les racines du régime COVID jusqu’au génocide planifié des populations indigènes au Canada par le Vatican et la Couronne d’Angleterre, notamment les meurtriers “pensionnats indiens”.

LA COUR ÉTABLIT QUE LES OPPOSANTS PUBLICS À CE GÉNOCIDE, EN PARTICULIER KEVIN ANNETT, ONT ÉTÉ CONTINUELLEMENT CIBLÉS POUR ÊTRE DÉTRUITS PAR LES ACCUSÉS CONDAMNÉS, QUI SONT RESPONSABLES DU MEURTRE DE QUINZE ACTIVISTES ET DE PLUSIEURS TENTATIVES RÉCENTES D’ATTENTER À LA VIE D’ANNETT.

Nos mandats donnent le pouvoir non seulement à nos shérifs et à nos policiers adjoints, mais aussi aux gens du monde entier, d’appliquer le verdict de la Cour en arrêtant les criminels condamnés, en saisissant leurs biens et en mettant fin à la vente et à l’utilisation des “vaccins” COVID issus du génocide”, déclare la Cour.

“LES TUEURS D’ENFANTS NE PEUVENT PLUS ÉCHAPPER À LA JUSTICE EN UTILISANT LE PRIVILÈGE DE L’EXÉCUTIF OU DES ENTREPRISES, OU EN SE CACHANT DERRIÈRE LE CAMOUFLAGE DE CRISES DE SANTÉ PUBLIQUE INVENTÉES.”

Les documents de la Cour sont joints au présent avis.

Un plan d’action pour la participation de la police et des citoyens à l’application de ce verdict et de cette sentence historiques sera discuté demain, 16 janvier, à l’adresse suivante  www.bbsradio.com/herewestand 

(à 15 heures pacifique, 11 heures GMT).

L’arrêt et les mandats de la Cour sont affichés à l’adresse suivante www.murderbydecree.com sous “ITCCS Updates” et www.republicofkanata.ca  sous “Breaking News”.

Pour contacter la Cour :  itccsoffice@protonmail.com (à l’attention de G. Dufort, Bureau des affaires publiques)

Publié le samedi 15 janvier 2022 à 12 h 01 (GMT) par la Cour internationale de justice de la Common Law, Division du procès pénal par la Cour internationale de justice de la Common Law, Division du procès pénal.

Sous les auspices du Tribunal international pour les crimes contre l’Église et l’État (ITCCS) (créé en vertu du droit des Nations le 15 juin 2010).

Le leader de Targeted, Kevin Annett (à gauche), lors de la marche Protest the Pope,
à Londres, au Royaume-Uni, en avril 2010.

Le verdict et la sentence de la Cour internationale de justice de Common Law, 15 janvier 2022 : Communiqué de presse

L’article original sur :


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