Décrouvrir le Commandant AUBENAS

Cela fait un bon moment que je visionne les vidéos YouTube du Commandant AUBENAS. Ces analyses sont fines et me permettent de découvrir sa vision du système dans lequel nous évoluons.

Je vous recommande sa récente vidéo “103. Demain, l’Âge d’Or : épisode 3 – Mafia” qui nous parle de la mafia étatique. Je vous retrace ci-dessous des extraits de sa vidéo.

Les vices ne sont pas des crimes, les mafias qui fournissent aux consommateurs les prostitués et la drogue dont ils ont besoin, ne sont que des entreprises illégales. Des entreprises qui sont déclarées illégales par les hommes politiques ou par les autorités religieuses, parfois les deux suivant les pays.


En réalité les mafias doivent être combattues lorsqu’elles violent l’éthique de la liberté, lorsqu’elles pratiquent le racket par exemple, le rapt ou l’enlèvement. Lorsqu’elles pratiquent le viol de l’éthique, c’est à dire lorsqu’elles portent matériellement et volontairement préjudice à autrui.

Ce qu’il faut savoir aussi, c’est que l’état qui pratique, qui est censé combattre les mafias, qui est censé combattre les organisations criminelles, est lui-même une organisation criminelle tout à fait conséquente et tout à fait considérable.

Il nous rappelle qu’au début du 20ème siècle, dans les années 1900-1910, on pouvait acheter de la cocaïne ou de la morphine dans les pharmacies, sans avoir besoin de faire appel à des organisations parallèles, à des organisations criminelles.

Lorsque l’on parle des membres d’organisation criminelles, il lui vient à l’esprit que certaines entreprises capitalistes seraient également des entreprises criminelles. D’une part les entreprises capitalistes ne produisent pas des armes, des mines anti personnelles ou des lance-roquettes sans commande publique.

L’état est une mafia aussi par ses taxes, parce que finalement qu’est-ce une taxe, sinon un système de racket. Alors on me dit mais il y a un contrat social.

Mais nous n’avons jamais signé de contrat social et quand on reçoit des feuilles d’impôts et même sans recevoir des feuilles d’impôts, vous savez qu’aujourd’hui dans un pays comme la France, les deux tiers des prix à la consommation sont constitués de taxes.

Sur 1100 milliards de consommation des ménages, il y a plus de 800 milliards d’euros de taxes, de prélèvements, qui sont répercutés dans les prix. Les cotisations sociales des entreprises sont aussi répercutées dans les prix.

Les deux tiers de ce que l’on consomme sont des taxes, ça veut dire qu’une personne qui ne gagnerait que 1 000 euros par mois, c’est à dire 12 000 euros par an de paie 8 000 euros de taxes et consomme 4 000 euros de services et de produits réels.

Donc, même si vous ne payez pas d’impôt sur le revenu, nous sommes taxés à mort. Mais au-delà de la quantité, il y a un phénomène de qualité. C’est un racket : taxe = vol.

C’est véritablement un racket auquel aucun citoyen n’a consenti, et si demain on vous donnait le droit ou la possibilité de ne pas payer ou de vous faire rembourser ces fameuses taxes, et bien tout le monde serait remboursé.

Il reste à s’acheter une assurance santé libre, on irait mettre ses enfants dans une école privée de son choix plutôt que d’être racketté et de devoir faire appel à l’éducation nationale dont on connait l’incompétence calculée.

On nous dit mais l’état est nécessaire pour établir notamment des lois qui empêchent les gens de s’entretuer. En fait, si on respecte l’éthique de la liberté qui dit : Fait ce que tu veux à condition de ne jamais porter matériellement et volontairement préjudice à autrui.

Eh bien, les lois sont soit inutiles parce qu’elles correspondent à l’éthique, soit elles sont criminelles puisqu’elles viennent contrarier l’éthique. Notamment lorsqu’on vous émet un certain nombre d’obligations.

Obligation à faire la guerre, obligation à payer des taxes, obligations diverses et variées. Donc les lois sont soit inutiles soit criminelles.

L’homme libre, l’homme franc, se met un point d’honneur à violer toutes les lois scélérates. Parce que fondamentalement l’éthique de la liberté et au-dessus des droits inventés, ce que l’on appelle les droits de l’homme…

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