Partie 2 – J’apprécie le travail que fait Jeffrey Goines et du coup je vous en parle souvent parce qu’il mérite plus de visibilité sur la toile. Dans la première partie, nous avons évoqué le fait qu’on ne s’appartient pas !
Pour mémoire vous pouvez retrouver sa vidéo ici.
Perdre son pouvoir par le vote !
Dès lors que notre pouvoir fait l’objet d’une représentation, eh bien : il n’existe plus… Nous consentons alors à l’abandonner par le vote et à le remettre entre les mains d’une élite qui n’a pas obligation de tenir ses promesses.
C’est le principe même d’une promesse qui repose sur la confiance et sur rien d’autre. Voilà pourquoi nous n’avons rien à dire, non d’un point de vue moral mais d’un point de vue légal.
Nous ne sommes donc pas en démocratie, sans quoi le peuple déciderait des règles de sa représentation et voterait ses propres lois. Nous appelons le problème du nom de la solution ce qui pose un véritable problème d’information et de sémantique.
Cela est une volonté de l’élite qui a pour vocation d’inverser le sens des mots dans le but de nous conditionner, de nous donner l’illusion que nous avons une part de contrôle.
En France comme ailleurs, nous appelons démocratie ce qui en réalité une oligarchie. Étymologie : Termes grecs, l’un dérivé du mot qui indique en français petit nombre, et l’autre correspond au verbe commander.
C’est donc le pouvoir d’un petit nombre. Nous pouvons alors comprendre une chose, je prendrais même le risque de l’affirmer, soit qu’à l’heure actuelle : Voter est un acte criminel ! Non d’un point de vue pénal mais d’un point de vue moral.
Chaque personne qui vote perd donc sa légitimité à se révolter contre ce qu’il consent. Le contraire serait quelque peu grotesque. Voter c’est alors accepter l’idée que le pire arrive, c’est un coup de poker truqué.
Car nous savons que dans le cadre des élections présidentielles, l’élite a le soutien des médias mainstream qui ont pour mission de manipuler l’opinion, et nous savons qu’ils sont contrôlés par une poignée d’ultra riche, avec qui ils ont des conflits d’intérêts.
Ils sont également financés par ces mêmes ultras riches ainsi que des banques privées. Ils n’ont donc de compte à rendre à personne d’autre que ceux qui les financent.
Voilà pourquoi voter : tue ! Car voter c’est aussi accepter le fait qu’un SDF reste à la rue, que les soldats soient déployés sur des zones de guerre où des civils seront abattus, que l’Aide Sociale à l’Enfance continue d’agir en toute impunité.
Que les services publics soient privatisés, que notre patrimoine soit vendu à l’étranger, que les lobbys continuent de corrompre l’élite mais aussi que la caste politique continue à agir comme ils le font et cela n’est pas étonnant.
Ils en profitent puisqu’on les y autorise, ils vont alors décider de leurs salaires, de leurs privilèges, de leurs indemnités, de leur confort de vie, tout ça au frais et au détriment du peuple qui les finance.
Seulement, bien trop de personnes, à tort, prennent leurs droits pour des acquis alors que dé-facto un droit ne l’est pas puisqu’il n’est pas figé et que nous ne l’écrivons pas !
Petit message aux idiots utiles de l’élite qui propagent la bonne parole en disant à longueur de journée : Des gens sont morts pour obtenir le droit de vote. Ah bon ! S’ils connaissaient la vérité, ils se retourneraient dans leurs tombes.
Giuseppe
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