On peut voir en quelques clics sur le site internet du « Forum économique mondial » (FEM) 2020 qu’avec le coronavirus nous n’avons pas une pandémie mais une plandémie.
Voici un extrait du texte de cette vidéo :
Il s’agit d’une transformation numérique du monde via le coronavirus, qui a un impact grave sur l’ensemble de l’humanité, à savoir la fin de l’humanité créée par la nature. Découvrez dans cette émission les plans perfides du FEM 2020.
Je n’ai pas le temps de faire une vraie vidéo maintenant, mais je voudrais vous montrer comment utiliser votre « Lumen Naturale », votre bon sens.
Tout d’abord, nous savons qu’au sujet du coronavirus il y a de nombreux problèmes de logique. Dans certains rassemblements, il est contagieux, dans d’autres non. Nous savons que lorsqu’on est en quarantaine le coronavirus n’est pas contagieux.
Nous savons que le coronavirus est contagieux principalement dans les lieux publics climatisés. Nous savons qu’il y a beaucoup, beaucoup de symptômes différents, qui ne peuvent pas être uniformément attribués à un « virus » ou à quoi que ce soit d’autre, mais des tableaux cliniques très, très différents.
Et nous savons que dans les cas graves avec une infection pulmonaire etc., le coronavirus présente en principe les symptômes liées à l’inhalation de poussière fine, il a les mêmes patients, c’est-à-dire la même clientèle, et les personnes âgées souffrant de diabète et de maladies cardiovasculaires préexistantes risquent plus d’en mourir.
Nous savons cela. Puis nous savons aussi que le coronavirus vise directement les travailleurs indépendants, toute forme de sécurité propre, les petits magasins, les petites entreprises.
Le coronavirus est diagnostiqué aussi souvent que nécessaire, jusqu’au dernier commerce, jusqu’à ce que le dernier magasin soit nationalisé – jusqu’à ce que nous soyons tous dépendants d’un revenu de base inconditionnel, c’est-à-dire universel, comme l’a demandé depuis longtemps le pape François…
Et voici la vidéo :
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