L’Organisation mondiale de la santé (OMS), créée à l’origine en tant qu’organe consultatif, a une histoire troublante de mauvaise gestion et de corruption dans le domaine de la santé.
Les négociations actuelles, menées à huis clos et sans contribution publique substantielle, qui visent à transformer l’OMS en un organe de contrôle doté d’une autorité unilatérale et juridiquement contraignante sur les États membres, sont particulièrement préoccupantes.
Oui, vous avez bien lu ! Les amendements proposés au Règlement sanitaire international actuellement négociés par l’OMS sont spécifiquement conçus pour outrepasser la souveraineté nationale et transférer à l’OMS une autorité juridiquement contraignante.
Il ne s’agit PAS d’une théorie du complot.
Voici les preuves : trois documents officiels de l’OMS (1,2,3).
Les modifications proposées à la nature et aux pouvoirs fondamentaux de l’OMS contredisent directement et annulent la résolution conjointe signée par le président Harry Truman en 1948.
Cette résolution stipulait explicitement que les États-Unis n’étaient pas tenus d’adopter un programme législatif spécifique concernant les questions énoncées dans la Constitution de l’OMS.
Selon les amendements proposés, l’adhésion à l’OMS imposerait aux États-Unis des exigences juridiquement contraignantes.
Cela pourrait nous obliger à adopter une législation spécifique allant à l’encontre des principes de la Constitution américaine, ce qui pourrait porter atteinte à notre souveraineté et à nos droits inaliénables.
Voici quelques extraits du rapport final du Comité d’examen du règlement sanitaire international (CERI) :
« Les amendements proposés à ces définitions pourraient être compris comme visant à changer la nature de ces recommandations de non contraignantes à contraignantes, et à donner un effet contraignant aux recommandations et demandes de l’OMS comme proposé dans d’autres articles ». (page 26)
« Cette proposition rend également obligatoires les recommandations temporaires et permanentes visées aux articles 15 et 16. » (page 55)
« La proposition d’amendement visant à inclure une référence aux recommandations temporaires et permanentes semble rendre obligatoire l’application de ces recommandations. (page 67)
« Le Comité craint que ces propositions n’empiètent indûment sur la souveraineté des Etats parties et ne donnent des effets contraignants à ce qui est censé être des recommandations ». (page 68)
La 75e Assemblée mondiale de la santé a adopté des amendements à cinq articles du règlement sanitaire international qui réduisent considérablement le délai accordé aux 194 nations membres pour rejeter les amendements futurs.
Aucune signature de dirigeants ni aucune approbation par un parlement ou un sénat n’ont été nécessaires pour intégrer ces amendements dans le droit international, qui est juridiquement contraignant pour toutes les nations. Cela s’est produit en 2022, et cela peut se reproduire.
Le maintien de l’adhésion à l’OMS n’est pas seulement une question de politique de santé, c’est une question de droits constitutionnels. Elle est incompatible avec la constitution américaine et notre système juridique, un fait qui devrait résonner profondément en chacun de nous en tant que citoyen.
Les excès de pouvoir de l’OMS pourraient avoir un impact significatif sur les Américains en cas de nouvelle pandémie, en particulier si l’OMS obtient le pouvoir de prendre des décisions unilatérales sur les options en matière de soins de santé.
Comme indiqué précédemment, en vertu des amendements proposés au Règlement sanitaire international, l’OMS pourrait imposer des mesures sanitaires juridiquement contraignantes aux États membres, y compris aux États-Unis, sans avoir besoin de l’approbation des gouvernements nationaux ou des organes législatifs.
Cette évolution pourrait avoir plusieurs conséquences profondes :
1 – Perte de souveraineté et d’autonomie : L’une des principales préoccupations est l’érosion potentielle de la souveraineté nationale.
Si l’OMS se voit accorder un pouvoir de décision unilatéral, le gouvernement américain sera contraint de se conformer aux directives internationales en matière de santé, même si elles sont contraires aux politiques nationales ou à l’opinion publique.
Il pourrait s’agir de vaccinations obligatoires, de mesures de quarantaine et de restrictions de voyage qui pourraient ne pas correspondre aux besoins spécifiques ou aux préférences du public américain.
2 – Restriction des choix en matière de soins de santé : La capacité des Américains à prendre des décisions personnelles en matière de soins de santé pourrait être considérablement limitée.
Par exemple, l’OMS pourrait imposer certains traitements ou mesures préventives en cas de pandémie, ce qui ne laisserait que peu, voire pas du tout, de choix aux individus en matière de soins de santé.
Cette centralisation du pouvoir pourrait nuire à la relation patient-médecin et réduire la possibilité de prendre des décisions médicales sur mesure, spécifiques au patient, qui sont cruciales pour gérer les besoins individuels en matière de santé.
3 – Mise en œuvre de mesures uniformes : L’approche unique de l’OMS pourrait ne pas convenir à la population diversifiée et aux infrastructures de soins de santé variées des États-Unis.
Les mesures uniformes conçues pour être applicables à l’échelle mondiale pourraient ne pas tenir compte des défis et des ressources uniques disponibles dans les différentes régions du pays.
Il pourrait en résulter l’application généralisée de politiques de santé néfastes, ce qui risquerait d’exacerber les disparités et les inégalités en matière de santé.
4 – Atteinte aux libertés individuelles : La mise en œuvre des mesures prescrites par l’OMS pourrait porter atteinte aux libertés individuelles et civiles.
Par exemple, les fermetures forcées, les tests obligatoires et les traitements médicaux obligatoires pourraient être imposés sans les contrôles habituels prévus par les systèmes juridiques et politiques nationaux.
Cela pourrait entraîner une résistance de la part du public et une perte de confiance dans les autorités sanitaires nationales et internationales.
5 – Incidences économiques et sociales : Les mesures sanitaires prises par l’OMS pourraient avoir des conséquences économiques et sociales considérables.
Les fermetures d’entreprises, les interdictions de voyager et d’autres mesures restrictives pourraient perturber l’économie et la vie quotidienne, entraînant des difficultés financières, le chômage et des troubles sociaux.
L’imposition de lignes directrices internationales rigides pourrait entraver la capacité à répondre de manière souple et contextuelle à de tels défis.
En résumé, les excès de pouvoir de l’OMS pourraient avoir des conséquences importantes pour les Américains en portant atteinte à la souveraineté nationale, en limitant les choix en matière de soins de santé, en imposant des mesures uniformes qui pourraient ne pas convenir à tous, en empiétant sur les libertés individuelles et en provoquant de vastes perturbations économiques et sociales.
Toute directive internationale en matière de santé doit être équilibrée avec le besoin d’autonomie nationale et la capacité de prendre des décisions spécifiques au contexte qui servent au mieux l’intérêt du public.
En tant que peuple libre, il est essentiel de reconnaître les implications de ces propositions d’amendements sur nos droits constitutionnels et notre souveraineté nationale.
Selon ces nouveaux termes, le maintien de l’adhésion à l’OMS n’est pas simplement une question de politique de santé, mais un défi fondamental pour notre cadre juridique et constitutionnel.
Pour sauvegarder notre souveraineté et garantir que nos politiques de santé reflètent les principes de notre Constitution, nous devons prendre les mesures suivantes :
- Soutenir les efforts législatifs tels que le H.R. 79 (loi sur le retrait de l’OMS), qui vise à abroger la législation qui a permis aux États-Unis d’adhérer à l’OMS.
- Défaire l’OMS.
- Entamer le processus de retrait de l’OMS.
Contactez vos représentants et faites-leur savoir que c’est ce que vous voulez qu’ils fassent. Vous trouverez ici la marche à suivre.
Il est essentiel de prendre ces mesures pour protéger l’indépendance de notre nation et défendre les valeurs inscrites dans notre Constitution.
Plus d’informations ici : TheTruthAboutCancerOfficial.Substack.com
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