Qu’est-ce que la Noosphère ? C’est l’intelligence collective de la Terre. Sur le plan subtil, elle ressemble à un champ à plusieurs niveaux – à partir du noyau de la planète et de tous ses corps énergétiques, y compris le corps anupadique.
Ce champ est continuellement créé, réapprovisionné et profondément entrelacé de toutes les consciences, des minéraux, des plantes et des êtres vivants, y compris la Terre, qui est aussi une entité sapiente.
La Noosphère est conçue et destinée à la formation, au développement et au suivi de l’Intelligence de la planète et de ses civilisations.
De telles structures ont toujours existé dans le Grand Cosmos. Bien avant la naissance de la Terre et des cinq races qui la peuplent, la Noosphère, en tant que mécanisme, a été testée d’innombrables fois dans différents systèmes stellaires et galaxies.
La Noosphère est appliquée dans trois programmes spatiaux. Le premier est le développement de l’univers local, le deuxième – de la vie, et le troisième – de l’évolution de l’intelligence. La Terre est connectée simultanément à ces trois programmes.
Le programme de l’Univers est standard, strict et rigide. Le programme de la Vie est multivariable. Le troisième, dès le début, est accordé à une planète, qui est spécialement créée pour l’évolution de l’Intelligence. Et ce processus commence dès la formation de la Noosphère.
Sur la Terre, trois programmes ont été activés par étapes. Le premier était le programme de l’Univers, puis celui de la Vie et la création d’une biocénose. Et seulement après cela, les Co-Créateurs ont initié l’évolution de l’intelligence sous la direction des Curateurs, nos races spatiales parentes.
Encore une fois, avant la formation de la Terre physique, à sa place dans l’espace, se trouvait une matrice sous forme de noosphère, chargée de logiciels d’information primaire, d’énergie et de temps, et de codes d’activation. Puis, une planète matérielle est née à partir de ces composants, comme la continuation de la Noosphère.
Au cours de l’évolution, la Terre a été transformée de nombreuses fois, de la Première à la Cinquième Race, et se dirige maintenant vers la Sixième et la Septième, que les Co-Créateurs ont décidé de réunir en une seule.
C’est-à-dire que les données de la Noosphère initialement introduites ont été constamment modifiées, en fonction du niveau d’Intelligence de la civilisation existante, de ses succès ou de ses échecs, car la Noosphère est un système qui s’auto-développe et s’auto-ajuste.
Notre Noosphère a été construite par TROIS groupes d’êtres cosmiques supérieurs provenant de différentes dimensions.
Les PREMIERS appartiennent à diverses civilisations intergalactiques de l’espace profond, pour lesquelles un tel projet n’est pas le seul. Ils sont les principaux développeurs du logiciel de Noosphere pour la matérialisation ultérieure de la planète sous forme de corps physique.
Le SECOND est responsable du stockage des données sur les civilisations, vivant et se développant sur la planète. Ce sont également les races galactiques de l’espace profond.
La TROISIÈME est constituée d’enseignants qui dirigent les flux d’énergie et d’informations.
Au début, la Terre est née de l’idée de l’Absolu, puis elle a été réalisée par des architectes, des concepteurs et des ingénieurs de sept races spatiales.
Quelles sont les tâches de notre Noosphère ? La principale est de générer l’énergie d’intelligence qui est utilisée pour construire diverses structures dans l’univers local et les galaxies.
La deuxième est de transformer les énergies entrantes sur notre planète, et de surveiller et diriger leurs interrelations et interactions les plus optimales qui ne se submergent pas dans une seule sphère.
La troisième est la transformation et la genèse de nouvelles formes de vie, puisque la Noosphère et les humains peuvent créer non seulement leur propre espèce, mais aussi d’autres entités, en appliquant les connaissances acquises et les info-énergies disponibles.
Les principaux objectifs de la Noosphère :
- Développer l’intelligence de la planète et de toutes les civilisations qui s’y trouvent ;
- Servir de plate-forme expérimentale, sur laquelle de nouvelles approches et idées de l’Absolu sont testées ;
- Servir les courants monadiques (familles) selon certains modèles, pour former de telles structures de l’âme qui l’aident à rester intacte et à être ensemencée dans d’autres mondes de l’espace.
- Ancrer et enraciner l’information énergétique sur la planète en tant que porteur d’Intelligence, et la transférer au nouvel Univers, afin de ne pas le recommencer à zéro.
La noosphère recouvre la Terre sous la forme d’un orbe 4D et se compose de couches. On y trouve certains regroupements et lieux d’accumulation. La plupart d’entre eux sont regroupés au pôle Nord, au-dessus de l’Antarctique et de l’hémisphère Nord.
La structure de la noosphère n’est pas liée géographiquement à des endroits spécifiques de la surface, mais est constamment en mouvement. En même temps, il y a des points d’attraction : flexibles – les égrégores, et plus rigides – les centres de contrôle des systèmes de sécurité et de nettoyage, tournant autour des pôles.
La couche externe de la noosphère est protectrice, et consiste en un système de filtrage. Entre elle et la surface, au sein de la biosphère, il existe également un certain nombre de filtres, internes.
Sur le plan subtil, la noosphère a la même structure que la Terre et l’homme, leurs corps physique et énergétique. Sa dimensionnalité est également fractionnée et varie, à partir du noyau, par niveaux de fréquence. Dans l’espace, elle n’a pas de cadre ni de frontières. Elle n’est pas un système fermé.
Dans d’autres dimensions, la Noosphère se manifeste comme un arrière-plan à partir duquel on peut ouvrir ses bases de données et étudier des informations, ou, comme dans un lecteur vidéo, visualiser une holographie d’événements, etc. Le fond n’est pas réapprovisionné en ligne, mais avec un retard, c’est-à-dire qu’il contient le passé, ce qui s’est déjà produit. Qu’est-ce que cela apporte ?
D’abord, la liberté de passer d’une dimension à l’autre pour transférer l’énergie, les informations, l’expérience accumulée. Deuxièmement, pour les échanger, activer des personnalités ou des structures égrégionales.
À l’ère de la dualité, cela a servi de catalyseur supplémentaire pour l’évolution. La polarité du contenu créait une confrontation constante du positif et du négatif, obligeant à faire un choix et à se développer davantage dans la direction choisie. Nous créons nous-mêmes notre ligne du temps.
Sur le plan subtil, la noosphère ressemble à un arc-en-ciel. Certaines couches sont remplies de flux d’énergies de différentes densités et couleurs. D’autres sont statiques. Toute la structure est imprégnée d’un immense réseau de canaux par lesquels nous pouvons nous déplacer et aller dans l’espace profond.
Comme un arc-en-ciel, la Noosphère comporte sept couches. Parfois, chacune est divisée en deux : le sous-niveau de l’énergie et celui de l’information. En y pénétrant, nous pouvons les voir comme un tout, ou séparément, selon notre vision intérieure et la structure dans laquelle nous nous trouvons.
La PREMIÈRE COUCHE, la plus proche de la surface, contient les énergies de toutes les personnes, animaux et plantes de la Terre. C’est une énergie vivante, remplie d’informations, qui possède de nombreux canaux d’échange entrelacés, formant le champ d’information de la Terre.
Dans cette couche, il n’y a pas de magasins d’informations. Elle circule, interagit et s’interpénètre intensivement, formant et aidant, par exemple, notre intuition. Si nous avons besoin de quelque chose, nous nous connectons consciemment ou inconsciemment à cette couche, nous créons l’image d’une question ou d’une demande, et en réponse à notre message énergétique, nous recevons une réponse, une information, un contact avec des personnes ou un événement.
La DEUXIÈME COUCHE est construite comme un maillage, et se compose de cellules d’incarnation active des personnes et de tous les êtres vivants sur la planète, ainsi que des bases de données de l’air, l’eau, la montagne et d’autres systèmes de la Terre.
LA TROISIÈME COUCHE est le système de stockage d’informations des enseignants et de contrôle de la Terre. Ce niveau possède de nombreux conduits verticaux, dans lesquels circulent activement des flux de Lumière et d’Amour. Certains proviennent de la Source, de l’Absolu, du Plérôme et du Grand Cosmos, d’autres – de la SECONDE COUCHE, où se trouvent les cellules d’incarnation avec la puissance vitale accumulée. De plus, elle est réapprovisionnée par les personnes vivantes lors des prières et des méditations. Si nous sommes purs, empathiques, compatissants, aimons sincèrement et aidons de manière désintéressée, cette énergie entre dans la TROISIÈME COUCHE.
Les enseignants l’utilisent pour augmenter notre pouvoir, lorsque nous avons des problèmes, des difficultés ou des maladies et que nous demandons de l’aide, de la lumière, de la bonté, de la foi et de l’amour. Et nous les recevons toujours généreusement en retour.
LA QUATRIÈME COUCHE est remplie de cellules, dans lesquelles sont placés les Gardiens. Elles ne sont pas actives, mais restent ouvertes, et sont destinées aux Âmes des Entités Supérieures, en attente d’incarnation.
Les Gardiens contrôlent également les égrégores, gèrent les échanges d’informations et les interconnexions avec l’espace extérieur, d’où de nouvelles âmes viennent constamment s’incarner sur Terre avec leurs programmes individuels et collectifs.
Les variantes d’incarnation sont différentes : simple ou par paires (jumeaux). Une Ame peut résider simultanément dans deux corps ou plusieurs Ames dans un seul (non possesseurs).
En même temps, l’ouverture des Âmes dans cette couche les rend accessibles aux entités négatives, qui sont à la recherche de victimes potentielles. Cela ne se fait jamais par la force, car chaque Âme ici est protégée de manière fiable. Mais si, par libre arbitre et liberté de choix, elle est prête à devenir une Âme, par exemple de Draco ou de Reptiloïde, personne ne peut s’y opposer.
LA CINQUIÈME COUCHE relie l’énergie de l’Univers local et de la Terre, son champ. A travers ce “plancher”, la planète est chargée de programmes et de codes pour générer une énergie unique et intégrale qui va aux besoins du Grand Cosmos. Ce processus est également contrôlé par des Gardiens spéciaux, qui composent les flux en fonction de certains paramètres.
La SIXIÈME COUCHE sert de plaque tournante et de nœud de navigation. C’est à partir d’elle que nous pouvons, dans des corps énergétiques, nous rendre dans l’espace profond grâce à un système dense de canaux de transport.
LA SEPTIÈME COUCHE est protectrice. En même temps, à travers elle, les Co-Créateurs contrôlent toutes les autres couches pour le maintien de la vie de la Noosphère et de la Terre.
En plus de la Noosphère constructive, il existe une autre zone dans l’espace proche de la Terre – l’Isosphère. Elle remplit les mêmes fonctions, mais pour d’autres forces, négatives, qui l’ont créée et qui sont toujours présentes sur Terre. C’est une autre manifestation de la dualité, en tant qu’expérience, en tant que catalyseur pour le développement de la civilisation terrestre.
À certains égards, les deux systèmes sont similaires. Tous deux ont été créés simultanément et font partie d’un seul champ d’énergie et d’information, dans lequel ils sont combinés, mais existent en parallèle. Les deux Sphères se surveillent de près et interagissent activement.
Les deux sphères sont densément peuplées. Il existe de nombreux modes d’existence, leurs manifestations et leur fréquence. En général, c’est un habitat énergétique-informationnel, un environnement dans toute sa diversité.
Les deux sphères, ensemble, aident l’homme à se développer harmonieusement, sans se confronter à lui-même, mais en prenant toute expérience de la vie comme une leçon précieuse, comme une étude continue sur le chemin de l’évolution vers la Source.
Il existe également des différences. La Noosphère fonctionne selon des règles strictes et établies. L’Isosphère est un champ d’expériences sur les énergies, les structures et les habitants de la Noosphère et de la Terre : comment obtenir des résultats différents à partir des mêmes substances et conditions.
L’Isosphère ne copie pas la Noosphère, mais est une version indépendante du développement de la Terre et de l’Intelligence, en accord avec un programme complètement différent, uniquement le sien.
L’Isosphère n’est pas entrelacée avec la Noosphère, mais répète la structure de cette dernière, en la remplissant de son contenu, reflet spécifique d’un seul champ d’énergie et d’information.
Toutes deux ont des configurations et des structures différentes. La Noosphère entoure la Terre, répétant sa forme. L’Isosphère ressemble à un nuage avec des gradations allongées sous la forme de formations existant séparément et possède davantage de sous-couches. Chacune ne sert que sa “clientèle”.
Sur le plan subtil, la noosphère ressemble à un arbre inversé, avec ses racines vers le haut, qui se transforment en un tronc descendant vers la Terre. L’Isosphère est comme un tronc, se transformant en couronne, reposant sur la surface de la planète.
La Noosphère est remplie de vibrations élevées, l’Isosphère de vibrations faibles.
La Noosphère a un cadre rigide, stable et statique. L’Isosphère est plus amorphe et mobile, tant à l’intérieur qu’à l’extérieur, changeant constamment et s’adaptant à la situation. Elle possède également des sorties vers les planètes de notre système solaire et vers d’autres dimensions.
La Noosphère est un dépôt de données. L’Isosphère est un moteur de recherche qui scrute continuellement l’ancien, essaie et recherche de nouvelles formes, de nouvelles opportunités, de nouvelles informations et leur transformation.
La noosphère est un rayonnement et un mouvement vers le noyau de la Terre. L’isosphère – le rayonnement et le mouvement DEPUIS le noyau de la planète.
Les deux sphères sont un mécanisme pour le développement de l’intelligence, mais elles fonctionnent de manière différente. La noosphère aide l’âme à se diriger vers la lumière. L’isosphère s’attache à provoquer l’âme par la négativité afin de révéler sa véritable essence dans l’incarnation.
À chaque action de la noosphère, l’isosphère répond par une contre-action. Comme le VIVANT, dans l’ordre inverse, devient le MAUVAIS. En surmontant ces obstacles, nous nous améliorons plus rapidement. Mais ceux d’entre nous qui évitent le travail intérieur et n’atteignent pas un certain niveau, sont affectés négativement par l’Isosphère. Nous sommes donc triés et répartis sur 16 lignes de temps en fonction de nos fréquences.
L’isosphère n’est créée que sur les planètes destinées au développement de l’intelligence. Au départ, avant la formation d’une planète physique, l’Isosphère est présente non pas comme un programme, mais comme un algorithme, et peut être activée si nécessaire. C’est aux curateurs de la planète d’en décider.
Dans toutes les civilisations de la Terre, les gens ont toujours connu et interagi avec les deux sphères à des degrés divers. À notre époque, un nouvel élan d’intérêt pour elles est apparu il y a une centaine d’années. Et aujourd’hui, de nombreux scientifiques, philosophes, artistes et écrivains de différents pays se tournent constamment vers ce sujet. Et parmi eux, Joseph Anthony Arguelles (24 janvier 1939 – 23 mars 2011), plus connu sous le nom de José Argüelles, occupe certainement une place de choix.
Le 5 janvier 2023, à 11:26 AM CET, la flotte spatiale des Argoriens et la base lunaire des Siriusiens en 23D ont signalé que, ce jour-là, la connexion de la Terre à un nouveau champ d’information avec des programmes et des codes 5D a démarré. Ils ont prévenu qu’il s’agirait d’un processus long et qu’il pourrait provoquer une réaction négative. Le nouveau champ d’information, superposé aux vestiges de l’ancien, produira des vortex d’énergie non seulement dans l’espace de la planète, mais aussi dans l’esprit des gens.
L’ensemble de la noosphère est maintenant renforcé et étendu par des champs énergétiques et magnétiques. Des processus similaires se produisent dans les corps humains. Les distorsions de la perception peuvent conduire à des situations extrêmes. Les Argorians et les Siriusiens demandent instamment de percevoir calmement et sans trop d’émotion ce qui se passe, qui est sous contrôle total.
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