Aujourd’hui, nous allons aborder des questions qui préoccupent beaucoup d’entre vous – le temps, l’attente, les doutes et les angoisses. Nous vous informons depuis un certain temps maintenant que votre réveil collectif humain est extrêmement proche dans le temps. Et il l’est !
Mais votre expérience du temps est quelque peu variable dans le jeu illusoire dans lequel vous êtes engagés en tant qu’humains. Beaucoup d’entre vous, lorsqu’ils étaient petits, ne pouvaient pas concevoir de devenir des adultes parce qu’un tel état vous paraissait alors éloigné d’une éternité dans le temps. Aujourd’hui, beaucoup d’entre vous, surtout ceux qui sont âgés, se demandent où est passé le temps !
Évitez donc de vous concentrer sur l’avenir, sur ce qui pourrait se produire, sur ce que vous espérez ou sur ce que vous espérez sincèrement ne pas voir se produire, car cela vous détourne de la vie et ne vous apporte aucune réponse significative. De même, ne revenez pas sans cesse sur les erreurs ou les fautes que vous avez commises dans le passé.
Rappelez-vous simplement que vous avez tous choisi d’être ici maintenant pour vous éveiller, et pour aider les autres à s’engager dans le processus d’éveil de l’humanité, et c’est exactement ce que vous faites. Par conséquent, détendez-vous avec la certitude que tout se déroule précisément comme Mère/Père/Dieu l’entend, car, inutile de le dire, c’est toujours le cas, car il n’y a pas d’autre option.
Le plan divin pour votre réveil collectif, créé par Dieu au moment précis où vous avez collectivement décidé de faire l’expérience d’un état de séparation onirique, est en cours depuis ce moment, qui était et est maintenant. Et il atteindra sa plus belle réalisation en ce moment même, le seul moment qui existe.
Il s’agit en effet d’un concept très déroutant à accepter pour ceux qui sont dans la forme, et qui dépasse l’entendement en raison de l’écoulement constant du temps dont vous faites constamment l’expérience, l’instant présent disparaissant dès qu’il arrive.
Dans la Réalité, dans laquelle vous allez bientôt vous éveiller, il n’y a que le maintenant, et dans la Réalité, cela a un sens total. Vous devrez attendre de vous éveiller pour l’expérimenter et la comprendre, et alors elle aura un sens total pour vous, et vous serez ravis de la Réalité qu’elle vous présente, maintenant !
Par conséquent, libérez ou laissez aller tout doute, toute anxiété, tout ressentiment, toute colère ou toute peur, ce sont tous des états d’esprit égoïques irréels. Lorsque vous vous identifiez à vos corps humains, il semble tout à fait normal et naturel d’éprouver ces émotions et ces sentiments, et pour assurer la sécurité de vos corps – qui sont facilement blessés ou endommagés – vous croyez que vous devez y prêter une attention particulière.
MAIS, vous n’êtes PAS ces corps. Les corps dans lesquels vous vous retrouvez à faire l’expérience de la vie humaine ont pour seul but de vous fournir un véhicule ou un conteneur qui vous permet d’éprouver un sentiment irréel de séparation et d’abandon de votre Source éternellement aimante.
Comme on vous l’a dit si souvent, la séparation d’avec Mère/Père/Dieu est totalement au-delà des limites du possible, car Mère/Père/Dieu EST Tout ce qui existe.
Enfin, en temps voulu, le collectif humain a choisi de s’éveiller. Néanmoins, beaucoup d’entre vous se sentent encore très incertains quant à la possibilité d’un réveil, parce que vous vous êtes si puissamment identifiés à vos corps totalement mortels, qui, avec le temps, mourront.
Votre conscience individuelle de votre réveil commence lorsque vous commencez à essayer de comprendre le véritable but de votre vie. Cela se produit lorsque vous croyez que vous avez accompli tout ce que vous vous êtes fixé comme objectif en tant qu’humain, et que vous vous retrouvez avec un manque de motivation pour la vie et une forte peur de la mort.
Ou bien, lorsque la vie est devenue si douloureuse que vous essayez de donner un sens à l’état de souffrance presque constant qu’elle vous présente, et que vous appelez Dieu – s’il y en a un – en désespoir de cause.
Ce que les gens doivent accepter, et apprendre à s’y fier, c’est que Dieu les entend toujours et répond à leurs appels. Cependant, la plupart du temps, vos appels au secours, vos prières d’assistance, sont si constants et si forts que vous n’entendez pas la réponse d’amour qui vous est offerte immédiatement.
Je ne saurais trop insister sur l’importance de prendre le temps, au moins une fois par jour, et de préférence chaque fois que vous avez le moindre moment de calme, d’écouter tranquillement afin de pouvoir recevoir et entendre la guidance aimante qui vous est offerte. Elle vous vient le plus souvent sous la forme de votre intuition, de votre savoir intérieur qui est toujours pleinement connecté à la Source, à la Réalité.
Pourtant, vous permettez à vos doutes égoïques de la rejeter sans vraiment prendre conscience de ce qui vous est offert, et vous continuez ainsi à vous engager dans les distractions et les anxiétés (votre bavardage de cerveau de toit) avec lesquelles vos egos vous présentent chaque fois qu’ils voient que vous commencez même à entrer dans un état de paix.
Vos egos n’aiment pas que vous soyez en paix.
Si vous n’êtes pas en paix, vous écoutez vos egos, et ils sont en effet très véhéments. Si vous ne l’avez pas encore fait – et beaucoup d’entre vous l’ont fait – réservez pour vous une période de temps chaque jour, comme une routine essentielle et incontournable, pendant laquelle vous choisissez d’être tout à fait seuls et non dérangés par les multiples demandes humaines sur votre temps, et invitez Mère/Père/Dieu à remplir vos cœurs d’amour.
Il est essentiel que vous l’invitiez dans l’espace de votre cœur, car elle vous honore toujours totalement, vous et votre espace intérieur sacré, et n’entrera pas sans y être invitée.
Son amour et Son respect pour vous sont bien au-delà de votre capacité, en tant qu’humain, à concevoir, bien qu’au fond de vous-mêmes vous le sachiez, et lorsque vous Lui offrez l’invitation, en calmant votre esprit, vous sentirez Sa Paix en vous. Alors vous vous sentirez vraiment en vie pendant que vous vous reposerez dans son étreinte la plus aimante.
Avec beaucoup d’amour, Saul.
John Smallman
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