Un contre-tireur des services secrets a envoyé un courriel lundi soir à l’ensemble de la division en uniforme (pas aux agents) disant qu’il ne cessera pas de parler jusqu’à ce que “5 superviseurs de haut niveau (1 en bas) soient soit licenciés, soit démis de leurs fonctions actuelles”.
Le contre-tireur a également déclaré que l’agence “DEVRAIT s’attendre à une nouvelle tentative d’assassinat” avant novembre et s’est plaint de ne plus être fier d’être un contre-tireur de l’USSS après que la direction a laissé tomber les officiers lors du rassemblement de Trump à Butler le 7/13.
“Cette agence a besoin de changer”, écrit le tireur d’élite dans l’e-mail. “Si ce n’est pas maintenant, QUAND ? “Le PROCHAIN assassinat dans 30 jours ?”
“Malheureusement, cela fait des années que nous ne sommes pas à la hauteur”, déplore le contre-tireur. “Nous avons juste l’air de bien le faire.
J’ai fait part de mes réflexions non seulement à mes supérieurs (dont l’actuel capitaine du CS), mais aussi à ceux qui sont chargés de nous former (SOTS/CS). On m’a répondu que ceux qui avaient moins d’expérience en savaient plus que moi”.
“L’équipe dont j’étais autrefois fier de faire partie est quelque chose que je dois cacher alors que je me dirige vers ma prochaine carrière”, poursuit le contre-tireur.
“Qui voudrait embaucher un gars de l’USSS CS qui a échoué ? C’est la perception publique à laquelle je ne suis pas confronté. L’équipe CS de l’USSS est une tache que je ne pourrai jamais nettoyer.”
Il conclut par ces deux lignes : “La devise de l’USSS… CYA. Et chaque superviseur est en train de le faire en ce moment même”.
L’agence a rapidement supprimé l’e-mail, a indiqué une source bien informée à RealClearPolitics.
L’intégralité de l’e-mail avec le nom caviardé ci-dessous :
Susan Crabtree
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