Dans ce cas, l’autre égrégore dominera les Britanniques…
Bien sûr, il ne s’agit pas d’un processus ponctuel, mais d’un processus très long, car des parties de la conscience collective saturent continuellement cette entité du Plan Subtil de leur propre énergie vitale, et pas seulement au Royaume-Uni, dans ses dominions et anciennes colonies, mais aussi aux États-Unis, avec lesquels elle se bat férocement actuellement (voir Partie 1).
Les liens entre l’égrégore britannique et le Parti démocrate aux États-Unis sont particulièrement forts. Le Parti travailliste est un clone de ce dernier et l’a activement soutenu avec les conservateurs contre Trump et les républicains lors de la dernière élection présidentielle en 2024.
Ils n’abandonnent pas l’espoir d’affaiblir l’Amérique et de l’entraîner plus profondément dans les guerres en Ukraine, au Moyen-Orient et dans d’autres zones de conflit.
N’ayant pas réussi à conclure un traité commercial général avec les États-Unis, Londres a commencé à signer des accords séparés avec le Texas, la Californie, l’Indiana et le Tennessee, dans l’espoir de rapprocher la désintégration du pays en États distincts.
Dans le nord-est, la Nouvelle-Angleterre reste le bastion historique de la Couronne. Sur toutes les cartes électorales, le Connecticut, le Maine, le Massachusetts, le Vermont, le New Hampshire et le Rhode Island ressemblent à une « forteresse bleue » qui a une longue frontière avec les régions les plus peuplées du Canada.
C’est un autre objectif des grèves douanières prévues par l’administration Trump contre le Canada, en plus de son annexion pour soutenir l’« amero » et la réserve de monnaies numériques.
En forçant Justin Trudeau à promettre des droits de douane et des tarifs de rétorsion, les républicains ont placé une puissante mine sous les Démocrates dans leurs bastions des États du nord-est.
Cela entraînera une forte hausse des prix intérieurs et la ruine imminente de l’ensemble du secteur en Nouvelle-Angleterre. De plus, ce sera fait par les Canadiens. Officiellement, il s’agissait de mesures de rétorsion simultanées contre le Mexique et le Canada.
Cependant, le long de la frontière mexicaine, il y a les « États rouges » des républicains, tandis que près du Canada se trouvent les bastions « bleus » des démocrates.
Si Trump trouve un terrain d’entente avec Mexico, les républicains ne verront aucun problème dans le sud, mais dans le nord-est, pour les électeurs américains, le Canada et le Royaume-Uni seront tenus pour responsables de tout.
Cela signifie que le poids des sanctions de rétorsion canadiennes fera pression sur la population de la Nouvelle-Angleterre, puisque, logistiquement, la majeure partie des marchandises y arrive du Canada.
Dans un premier temps, Ottawa pourrait imposer des droits de douane de 25 % sur les exportations américaines d’une valeur d’environ 20,6 milliards de dollars. Dans un deuxième temps, les droits de douane pourraient atteindre 86,28 dollars, notamment sur les voitures, les camions, l’acier et l’aluminium.
Dans les États frontaliers, cela provoquera une augmentation du mécontentement, fatale pour l’aile subordonnée des démocrates et les deux plus grands États, le Canada et le Royaume-Uni.
Dans le premier cas, l’élite démocrate de la Nouvelle-Angleterre pourrait se révolter, et Trump et l’administration républicaine pourraient décimer totalement ces États, sous les applaudissements du reste des électeurs américains.
L’électorat de base du Parti démocrate, qui constitue la majorité absolue dans cette région, sera physiquement battu avec le stigmate d’« ennemi du peuple » et tous les discours sur l’État profond et l’influence des « bleus » aux États-Unis prendraient fin immédiatement et pour toujours.
Dans le second cas, l’insatisfaction locale à l’égard des droits de douane qu’Ottawa imposera sur les produits américains entraînera une montée du sentiment anti-canadien.
Cela pourrait relancer le Plan de guerre rouge des années 1920 (le Plan de guerre stratégique de l’Atlantique) visant à envahir le Canada (voir – Partie 1).
Et comme toutes les élites démocrates de Nouvelle-Angleterre étaient connues pour leur activité pro-ukrainienne, les deux seront interdites en tant qu’antigouvernementales. En janvier 2025, les États-Unis ont déjà suspendu l’acceptation des demandes de participation au programme United for Ukraine (U4U).
Et en avril, environ 240 000 Ukrainiens pourraient perdre leur statut légal dans le cadre de la lutte contre l’immigration illégale.
Dans le troisième cas, l’élite démocrate aura peur de faire quoi que ce soit contre Ottawa et Trump, mais les droits de douane et les taxes canadiens continueront d’avoir leur effet destructeur. La population de la Nouvelle-Angleterre, craignant la ruine et la pauvreté imminentes, commencera à fuir la région.
Les électeurs locaux blâmeront leurs chefs démocrates pour tout, et la carte électorale régionale deviendra « rouge » d’elle-même. De plus, ces événements se produiront avant les prochaines élections partielles au Congrès, c’est-à-dire que dans deux ans, la sous-égrégore du « tsunami rouge » pourrait inonder l’Amérique.
En résumé, l’option 3 offre aux démocrates la possibilité de mourir lentement et douloureusement ; l’option 2 leur offre la possibilité de mourir dans la honte sans confiscation ; et l’option 1 leur offre la possibilité de transformer l’ensemble des États-Unis en un enfer et d’être maudits par les Américains pour toujours.
Trudeau a rendu un fier service aux républicains. Et s’il échappe soudainement à ce piège, son Parti libéral sera enterré par les mains de Chrystia Freeland et de la diaspora ukrainienne lors des élections législatives d’octobre.
Rappelons que son grand-père a collaboré avec les nazis, qu’elle considère les Américains comme des prédateurs et le président américain comme la plus grande menace pour le Canada depuis la Seconde Guerre mondiale.
Tout cela donne non seulement à Trump une autre bonne raison de « chasser les sorcières ukrainiennes » du Parti démocrate aux États-Unis, mais cela contribuera également à annuler les effets de la récession à venir sur les Canadiens et la « vile Grande-Bretagne », puisque tous deux font tout pour cela.
C’est ainsi que cela fonctionne en surface maintenant, reflétant la guerre en cours entre les égrégores américain et britannique sur un Plan subtil.
~ Lev
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